Bleu. Vert. Tu as fragilisé mon âme
Quand elle était encore froide et fade,
De cette étincelle est née une flamme,
Le feu vert menant à cette accolade.
Je disais "Je fend le temps" et c'est vrai,
Maintenant on prend le temps, on essaie.
Onze et douze, deux mille douze façon de te le dire
J'aime ce beau bleu et ce vert, je peux mais je m'y perd.
Mon cœur est formé de ce paysage :
En ce marécage l'eau est peu verte
Autour, l'Éternité y est inerte,
Au centre à lieu l'inné, ce beau rosage
Moi, aliéné j'attendais l'éclosion
Moi, arriéré j'entendrai l'explosion !
Maintenant t'es la rose de ma plaine,
D'une main tenante. Deux yeux, bleu-verts.
Mais tout cela n'arrête pas ma peine
Car n'étant pas Tesla,
Quand la Foudre s'abat
Je tombe tout en bas.
Onze et douze, deux mille douze façon de te le dire
J'aime ce beau bleu et ce vert, je peux mais je m'y perd.
Mais comme Zweig c'est ainsi que je finirai,
Dans ton regard entre l'absinthe et le turquoise,
Moi je partirai puis je t'attendrai, ailé !
Une chose inévitable : la mort, sournoise.
Mon amour est unique,
Tes prunelles hypnotiques,
On ira loin, classique !
Écrit par Tarada
L'hôte de la paix nouvelle se trouve dans la conscience de l'humain.
Catégorie : Amour
Publié le 12/12/2015
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