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Mon estomac est noué,
Ma gorge en est serrée,
Ma vue devient trouble,
Les battements redoublent.
Mes membres paralysés,
Mes pensées subtilisées.
Mes deux mains tremblent,
Sont menottées ensembles.
Mes longs pas traînent,
Mon boulet, ma peine.
Je ressens cette fatigue,
Qui mon visage irrigue.
Ma personne est sombre,
Ressemble à une ombre.
Ma vie et ses méandres,
N'est plus que tas de cendres.
Elle a désiré délaisser,
Notre grand amour tissé,
Passer à autre chose,
Que mon être morose.
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Commentaires
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Posté le 14/03/2008 à 09:11:07
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Tu n'es pas un condamné aux travaux forcés. Retrouve la force en toi et le sourire : quand on a une aussi belle plume, on ne peut pas être aussi sombre que tu le dis ;) |
Nighty  |