Doucement, le soleil perce, un, puis deux,
Puis trois rayons traversent ce brouillard
Le dissipant peu à peu et sans trop de retard,
Rend à notre coeur un air joyeux.

Pareil à ce soleil, ses yeux si malheureux,
Jusqu'alors, petit à petit, s'éclairent,
Donnant de l'espoir à tous ceux qui s'affairent
Pour redonner l'éclat d'un visage rayonnant et heureux.

Mais très vite, de lourds nuages inquisiteurs,
S'installent, empêchant la lumière d'inonder de sa blancheur
Ce coeur qui ne bat pas mais qui veut croire
Et se réfugie malgré tout dans "l'espoir"

Toujours, malheureusement, ces travers,
Cette peine que je ne peux effacer,
Qui m'installe dans le doute et,
Qu'il me faut malgré tout déloger.

Heureusement, en moi, toujours "l'espoir"