Les intuitions, les coïncidences affleurent dans le vent,
Comme pour se persuader de la lumière du moment,
Les nouvelles sont insolites,
Mais avec internet ça va très vite.
Ne plus croire en rien mais croire à ses intuitions,
C'est là que se joue toute ma conviction,
Comme voguer sur un zéphire léger,
De ma liberté intérieure affamée.
Mais quand le matin, chantait Claude François,
L'ombre de ce chanteur me revient à haute voix,
L'esthétique de ses clodettes est toujours là,
Pour me persuader que l'on ne m'abandonne pas.
Ne plus croire à un idéal fatal,
Simplement se récupérer d'une journée banale,
Et percevoir à l'horizon ses véritables raisons,
Que l'on respire avec passion.
Les danses psychologiques sont tourbillonnantes,
Elles s'élèvent parfois d'une façon criante,
Et se donnent un masque invisible,
Qui est fortement bien visible.
Écrit par lisezmoi
De même qu'il faut de la souffrance pour connaître le bonheur, il faut de la prose pour qu'il y ait poésie.Edgar Morin
Catégorie : Divers
Publié le 16/02/2013
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