Durant les premiers mois
De la vie traversée
On chante dans les bois
On joue à chat perché
A s'émouvoir de tout
Sans arrières pensées
On poursuit jusqu'au bout
Nos passions enivrées
On court après le bonheur
Mais on ne peut l'attraper
Celui-ci est si grand
Qu'il en est insolent
Plus tard l'amour fait place
Dans le cœur de l'enfant
Il efface les traces
Du rêveur innocent
Combien de larmes perlent
Gouttelettes de nuit
Sous des paupières frêles
Dans la prison du lit
On court après le bonheur
Sans jamais l'attraper
Indicible lueur
Sagesse ou d'amitié
Sait-on jamais, un jour ;
Vieillards de l'éternel
Si nos actes charnels
finiront pour toujours
Ou bien niché en nous
Sous des rides cruelles
Le don exceptionnel
La vérité sur tout
On court après le bonheur
Il n'est pourtant pas loin
Ce sublimissime acteur
Qui joue notre destin.
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enthousiasmé ami ! merci ! |
yannis  |
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bonjour gelule, "on court après le bonheur", mais qu'est ce que le bonheur !!! j'ai aimé cette strophe qui se rapproche de mon interrogation "On court après le bonheur Sans jamais l’attraper Indicible lueur Sagesse ou d’amitié" très intéressant écrit, à relire à très bientôt |
marie-ange_old2  |
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Belle poésie !! Le bonheur devrait être simplement la vie traversée avec son coeur d'enfant ...? Amitié |
| Yuba |