J'ai toujours cru
Que le bonheur
N'avait pas d'heure
Et se dévorait tout cru
Le temps, oh si triste
M'a bien fait saisir
Que le bonheur n'obéissait guère aux désirs
D'un pauvre égoïste
Mais où est ce bonheur
Et comment en tirer
Son bien tout entier
Si la montre n'est pas à l'heure
J'ai toujours cru
Que le bonheur
N'avait pas d'heure
Et se dévorait tout cru
J'ai longtemps penser
Que le bonheur n'avait pas de prix
Et qu'on devait à tout prix
S'en emparer
Aujourd'hui, je paye le prix
De celui qui n'a pas su le partager
Écrit par olivenoire
La folie est réponse à bien des maux.
Catégorie : Divers
Publié le 26/03/2011
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Commentaires
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Posté le 26/03/2011 à 07:19:03
bienvenue au club chère canadienne ,,, j'ai goù té bien du plaisir à te lire!!! encore!!! | |
flipote |
Posté le 26/03/2011 à 07:39:28
Le bonheur n'a pas d'heure, il peut surgir à tout instant et n'importe où ! Une belle arrivée avec de jolis vers. Bienvenue amicalement Louann |
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louann |
Posté le 26/03/2011 à 09:41:15
Bel écrit. Il est là il suffit de le voir et aussi de l'entendre dans cette belle nature; Cordialement CRIS | |
CRIS |
Posté le 26/03/2011 à 15:54:11
très beau poème , triste et réaliste . | |
angelique |
Posté le 27/03/2011 à 10:19:54
Quand on enlève tout ce qui ne va pas , il reste le bonheur .C'est vrai que parfois c'est minuscule mais il faut s'en accommoder . | |
TANGO |
Commentaires
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