J'aurai voulu
M'évader
Ne plus
Ruminer.
Le ciel blanc neigeux
Sévère,
J'ai vu dans ses yeux
Ses mystères.
J'aurai voulu
Me tirer
À mon but
Avoir accès.
Le ciel pesant
Couvre ma haine
Il est ce manteau blanc
Sous lequel je saigne.
J'aurai voulu
Être et ne pas
Viser l'absolu
Véritables choix
Le ciel me berce
Dans de surréalistes considérations
Ce qui ne laisse
De faire entrer en conflit ma raison.
J'aurai voulu
Mieux comprendre mon monde.
La vie, les gens, les rues
En capter les ondes.
J'aurai voulu
Avoir plus de temps
Que ces choses révolues
Ne soient qu'un "attends".
J'aurai voulu
Que le monde soit autre
Que ce que j'ai perçu
Ne soit pas mes fautes
J'aurai voulu
Suivre le déroulement des événements
Pour qu'ils ne soient plus
Pour moi ces principes d'égarement.
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Commentaires
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Posté le 10/01/2010 à 12:20:01
du beau et du magnifique ...viser l'absolu grand choix poète mais le monde est il ce qu'il semble être? bon dimanche! |
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MARIE L. |
Posté le 10/01/2010 à 12:45:24
Et non, justement ma chère Marie L... plus le monde semble se contredire et plus ce sont nos catégories, les outils avec lesquels nous le pensons (comme celui "d'absolu") qu'il nous faut nous efforcer à remettre en question consciemment. Merci Marie pour ce petit mot dominical :) Grosse Bise |
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Eoz |
Posté le 10/01/2010 à 19:03:52
juste un amical "bonne nuit" dors bien fais de beaux rèves , ne philosophe plus dans ton sommeil suspendsau dessus de ton lit un "accrohe -rèves "indien" pour filtrer les concepts tropdurs à cuire,,,,c'est très efficace et assure un merveilleux repos de bébé,,,,je t'embrasse figliolo mio,,,, | |
flipote |