Je contemple la route aux courbes infinies
Aux sillons de soleil nés du ciel déchiré.
En mains un doux silence de coeur chaviré,
Voguant sur l'irréel des pages réunies.
L'essence des mots purs en valeurs prémunies
Est vive et contribue au rêve déliré.
Dérivant vers la mer où je suis attiré,
Même mes certitudes sont redéfinies.
Et ma pensée s'esquive vers ces horizons
Bleus et jaunes. Dorés. Au pinceau d'expérience.
Par un gris menaçant, la pluie me dévisage,
Mais le soleil me crie : « Le vert, colorisons ! »
Alors, l'ombre soufflée, j'inspire la patience,
Contemplant la route, et l'âme du paysage...
Écrit par superfullvic
Un rêve, une étincelle, une illusion de bonheur...
Catégorie : Divers
Publié le 19/09/2009
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Commentaires
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Posté le 19/09/2009 à 09:39:07
Belle de scription d'un paysage surtout la première strophe. | |
eric |