La vie est un long fleuve

Par delà les frontières j'ai voyagé partout,
la ou on cultive le malt, le riz et le blé
j'ai construit de nombreux chemins
où la liberté guide les hommes
Pris au piège comme un enfant
Je me laissais faire, jusqu'à l'humiliation
Par delà les sornettes j'écoutais les diseurs de paroles
Et contenté par ma substance je criait
Tellement fort que les hommes fuyaient
Seul dieu écoutait mes murmures
Et je regardais le ciel priant mon retour
Peut, être cela est il délirant
Seul le doute crée le délire.
Alors je prends ma patience, contre les despotes et les fanatiques
Et je clamais que la liberté était de lire et de rêver,
Que le pêcher était le fruit du diable
Achetant les âmes des hommes
Je pense à être libre sans attachement aux possédés
Je suis libre de penser libre d'écrire
Alors je discute sagement de la liberté des devoirs
Et pense à faire le bien.
Tandis que l'intéressement et l'estime de soi deviennent
La valeur essentielle de notre peuple
Désirant de vendre leurs âmes.