Immobile sur un banc, s'échappent quelques pages
Aux gros titres de femmes actuelles
Mais d'elle, je n'ai plus de nouvelles.
De nous, la mémoire est pleine d'images,
Mais sans L, « nous » n'a plus de sens.
Elle qui dans chaque nuage n'est que mirage,
Elle qui de chaque ligne en est l'essence,
Elle qui chaque nuit enchante notre ménage.
Mais aujourd'hui je nage, je nage dans l'espérance.
Un journal posé là annonce 13 juillet 07. Jour de chance ?
Le vent s'y mêle et soudain me réanime l'esprit.
Elle est là, merveilleuse de son regard si sage
Mais vite le gros titre annonce la fin de notre récit.
Avec un autre, elle a préféré tourner la page.
Écrit par caballero
o temps suspends ton vol, et vous heures suspendez votre cours, laissez nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours
Catégorie : Triste
Publié le 16/07/2007
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Commentaires
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Posté le 16/07/2007 à 18:50:52
Je trouve ton poéme tres beau meme si un peu triste de toute facon la vie n'est pas toujours joyeuse normal que les poemes ne le sois pas toujours alors. Bonne continuation. | |
Shiguré |
Posté le 16/07/2007 à 19:54:46
Courage ,tu retrouvera une "aile". | |
Alexandre-glaucos |