(à S. L. et C. P., mes anges, mésanges messagères)
Ta peur est coupable, lumière amenuisée
Obombrant d'acajou le meuble à menuiser
De tes vies s'emboîtant des tracas qui nous jouent
Dans des sous-bois de nuits étoffées comme joues
Ta crainte est une invite à cette catastrophe
De découvrir un sens plus neuf à quelque strophe
Où s'outre ton être à broder son point de croix
Tissé dans l'angélique après qui point ne croit
Mais sait que ses excès, de cesser sont reçus
Par la source coulant dans le ciel au-dessus
Guidé par son étoile au lointain crépuscule
Étendant sur nos jours le décor de nuitée
Propice à s'obscurcir jusqu'à la ténuité
D'un corps propre à la mort dont l'esprit ne recule
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Écrit par jacou
L'art alchimique me tue, me transmute, me sublime. J'en renais plus fort, poétiquement. À suivre.
Catégorie : Spiritualité
Publié le 31/08/2022
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Commentaires
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Posté le 31/08/2022 à 23:15:00
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Bonsoir Jacou, Nul doute que ce Sonnet parle avec Force aux Anges nommées .. Et Bravo du Partage en ce Jardin ! A:) LyS .. |
Lys-Clea  |
Posté le 02/09/2022 à 08:00:38
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Un poème magnifique dans le sens et dans ses tournures Bravo |
| Edelphe |
Posté le 02/09/2022 à 15:51:57
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Claire, bonjour, oui ces anges sont à célébrer comme elles sont lumineuses dans leurs existences si poétiques qui donnent du sens à la vie, la mienne et par leurs arts les bonheurs quotidiens qu'elles dispensent à tous... A :) |
jacou  |
Posté le 02/09/2022 à 15:53:36
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Edelphe, mille mercis d'avoir déposé votre commentaire qui me touche, toujours, qui fait mouche, de même. |
| jacou |