À moi, Mon Essence m'a mené une rose pleine d'épines. Et je chagrine.
À moi, Mon Bien-Aimé m'a condamné à la peine. Mais je L'aime.
Ô combien de larmes m'a-t-Il fait couler. Une mer agitée.
Un amour séparé par un mur de peur. Et je meurs.
Une douce femme fragile comme de la porcelaine. Que je la fasse reine !
Une beauté parfumée au musc blanc. Et j'attends.
Et quoi ? Je chagrine tout le temps. Je L'aime tout le temps. Je pleurs tout le temps. Je meurs tout le temps...
Écrit par Merci
Je suis comme une feuille tombante. Le vent souffle en ma faveur, me menant là où je dois être.
Catégorie : Amour
Publié le 07/08/2019
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Commentaires
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Posté le 07/08/2019 à 20:07:10
Un lyrisme, de l'âme, et l'amour, que faut-il de plus pour apprécier le poème ? Rien. Bravo, Merci, de dépouiller l'armure et d'avancer nu ! | |
jacou |