l'écume de la vague entre dans la piéce
les couleurs fuient avec les grains de sable
la plume ne tient plus de part la tristesse
qui s'empare du peintre presque incapable
il fait nuit noir pas même une lueure
seule une cigarette brûle en triste fumée
un filon que l'oeil poursuit en torpeur
quand elle s'éloigne, la bien aimée
le bruit effroyable cadencé se rêpète
ah ce coeur, cette machine infernale
frappe tellement fort et dans la tête
une tempête, et le froid sidéral
quelques pas dehors se précipitent
on les croirait aller au bal
minuit sonna pour eux bien vite
pour lui il reste encore une balle
 |
Écrit par zeste
la vie n'est qu'éphémère nous ne sommes que passagers qu'elle soit bonne qu'elle soit amère il faudrait se partager le pire et le meilleur.
Catégorie : Triste
Publié le 21/03/2016
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
| Poème Précédent |
Partager ce poème:
|
Poème Suivant |
| Triste à découvrir... | Poèmes de zeste au hasard |
Commentaires
| Annonces Google |
Posté le 21/03/2016 à 23:23:32
 |
Et minuit sonne le glas d'une vie bien triste...c'est poignant de réalisme. |
coolwater  |
Posté le 21/03/2016 à 23:24:43
 |
Bonjour, Zeste :-) Une ambiance chargée de mystère... Cordialement. |
| Mokolo |
Posté le 21/03/2016 à 23:37:48
|
:-) merci coolwater, merci Mokolo, bien sûr c'est encore un plongeon dans le surréalisme obscur dans lequel j'aime souvent me perdre tout en sachant que ça devrait exister tout de même quelque part!!! bien à vous deux mes amitiés sincères |
| zeste |