L'univers s'ouvre grand à toi mon petit
Tu viens de naître pour notre grand bonheur
Un deux trois quatre et tu es déjà parti
Je regardes ma montre, elle est bien à l'heure
J'ai toujours biens su conjuguer au présent
Mais le voilà tout vieux il est est déjà passé
Le future me paraissait tel un adolescent
Auquel j'aurai tout donné sans jamais me lasser
Ô oiseau survole mon merveilleux paradis
Les temps s'échangent les maux à tour de rôle
Vivre pour son bien-être ou vivre sa maladie
Et prendre la vie comme une comédie drôle
On apprend à chanter souvent sans instruments
La musique est en nous, suffirait de l'entendre
Oublier ce qui pourrait devenir un châtiment
Fausse note, qu'il ne faudrait point défendre
Vas-y mon fils aussi loin et tant que tu pourras
Laisse la houle des vagues t'emporter
Le flot qui nage dans mes yeux te conduira
Et tu conjuguera mon automne en d'autres étés
Bien à toi cher à mon cœur
Réussite, joie de vivre et bonheur
Mon fils
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Écrit par zeste
la vie n'est qu'éphémère nous ne sommes que passagers qu'elle soit bonne qu'elle soit amère il faudrait se partager le pire et le meilleur.
Catégorie : Amitié
Publié le 13/12/2017
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Avec cet amour paternel il part avec une belle corde à son arc. A lui offrir quand il sera en âge de le lire, gardez-le précieusement, donc. Merci |
Verdon  |
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Super beau et d'une très belle sincérité. C'est avec les yeux de l'amour et l'âme d'un père que ce poème a été écrit, merci beaucoup. Bravo Zeste. |
suane  |
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Le dernier vers est si bien trouvé qu'il conclue ton excellent poème par une note projetée dans l'éternité, et elle rejoint les torrents de la poésie. Merci bien Zeste ! |
| jacou |
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Merci à vous mes amis d'avoir apprécié @ Verdon @ suane @ jacou bien à vous trois chers amis poètes petit zeste d'amour |
| zeste |