Il habite dans un corps lézardé
Avec un mental si maîtrisé
L'homme de mes pensées vit la douleur.
Le temps flaire ses os poignante douleur !
Échappée à la nacre d'une cuisse
Un genou tremble, son front se plisse
Retarde le cri de ses souffrances
Comme une nuit coulée entre nous, dense...
Devant moi l'infatigable rebelle
A la bien fragile citadelle
Corps désaccordé, tu dois tenir.
Englué, larmes contenues, désir !
Oui, je te désire et je m'applique
dans de sages mais menteuses répliques
Je tire la langue comme l'enfant que je fus
quand je décalquais les îles perdues
Je maquille ma peur en bonne humeur
Parce que je t'aime, unique, divers
comme une eau pure qui me désaltère
ET
je crains tant ce qui nous terrasse...
Savoir
nommer les choses avec grâce
Je ne sais plus.
Zénobie d'Ève
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Un cataclysme intérieur qui chamboule autant le corps que les idées ! Joliment exprimé. Bises |
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Nighty |
Tu ne sais plus zenobie ?! Les choses s'habillent d'un doute et moi je n'ai qu'une envie...RELIRE !! Je t'embrasse ma chère amie ... |
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Yuba |
Un cataclysme intime qui apparemment te laisse bien circonspecte mais je pense que tu vas réagir très vite comme tu sais le faire . Bisous | |
TANGO |