Quand la plus sombre des mères, rêvant, me berçait
Voyageuse immobile partait pour Assouan,
Son regard sur moi se voilait d'un non présent,
Petit enfant sage de larmes retenues, je riais
Voyageuse immobile partait pour Assouan,
Les yeux rivés sur le mur s'offraient un cadeau
Ils y voyaient, un Nubien, du sable et de l'eau
Son chagrin s'envolait, lèvres offertes au vent
Les yeux rivés sur le mur s'offraient un cadeau
Je tombais quelquefois comme un caillou pesant
Son chagrin s'envolait, lèvres offertes au vent
Le sage et le fou avec moi, courbent le dos
Je tombais quelquefois comme un caillou pesant
Ma mère était mon enfant, ce fut mon fardeau
Le sage et le fou avec moi, courbent le dos
Combien sont les erreurs dont nous sommes innocents...
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MA ZÉNOBIIIIIIIIIE! BRAVO POUR CE PRODIGIEUX PANTOUM ! EXERCICE QUE JAMAIS N'OSAI ilest beau , plein de mystère d'énigmes non résolues racnte moi toutça ma Zénobie donne moi ; en privé le code et les clefs,,, tu remarqueras que j'écris clef avec un f : c'est tellement plus beau,,, je t'embrasse,,, |
flipote  |
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Un grand plaisir à te lire Zénobie, comme le dit si bien Darius une belle et rare écriture qui nous comble à chaque lecture ! bisous Louann |
| louann |
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Chargé en émotions ton poème Zénobie, d'une grande beauté, un vrai plaisir à lire. Bises Ange de lumière |
Ange de Lumiere  |