Je t'attends, le sais-tu ?
J'ai gardé tes babioles
Et surtout le flacon,
Du parfum que j'aimais.
La nuit, quand les heures lourdes,
Essayent de m'assommer,
Je respire un halo,
Du baume que ta peau,
Exhalait sous mes mains.
Mes caresses, tes soupirs,
Un monde du passé…
Je t'attends, où es-tu ?
Tu peux ouvrir ma porte
Et t'asseoir près de moi,
Sans rien dire. Ton retour,
Je l'espère, je le rêve.
Il est ce pont fragile,
Qui oscille dans ma nuit.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 23/05/2012
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Commentaires
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Posté le 24/05/2012 à 11:38:56
Meilleurs souhaits de retour ce serait mérité après une si jolie et sincère poésie | |
PATGUI |