Mon vieux bonheur défile,
Quand tu es loin de moi,
Quand planent sur la ville,
Les rumeurs d'autrefois.
A chaque coin de rue,
Un parfum, une brise,
Un souvenir ému,
M'enveloppent et me grisent.
Il est où ce jardin,
Perdu dans les quartiers,
Où tu as pris ma main,
Pour ton premier baiser.
Les années, des poussières,
A jamais envolées,
Ont éteint les lumières,
Des amours surannées.
J'ai gardé dans ma bouche,
Le goût de tes baisers
Et sous mes reins, la couche,
Où nous nous sommes aimés.
Virgile.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 07/01/2020
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Commentaires
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Posté le 07/01/2020 à 22:37:20
j'adore . | |
douceurdevivre |
Posté le 08/01/2020 à 11:10:55
Excellent, j'ai aimé particulièrement vous lire dans l'harmonie des vers. | |
jacou |
Posté le 08/01/2020 à 18:28:37
C'est très beau bravo | |
Quai 21 |
Posté le 13/01/2020 à 18:24:39
Merci beaucoup J'ai aimé l'harmonie et la beauté des vers. | |
roserose |