Là-bas, j'entends bien tes murmures,
Qui rampent lentement vers moi,
Pareils au lierre sur les murs,
Des vieilles maisons d'autrefois.
Et puis les étoiles s'allument,
Diamants sur les vagues des cieux,
Lumières qui percent la brume,
Bien pâles à côté de tes yeux.
Je recherche le long des rues,
Tes souvenirs jusqu'à l'aurore
Et quand le soleil sort des nues,
J'ai comme un besoin d'hellébore*.
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*hellébore ou ellébore : Plante qui passait pour guérir la folie.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 16/12/2017
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Commentaires
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Posté le 16/12/2017 à 10:10:55
Un très beau poème, j'aime énormément. | |
Galerion |
Posté le 16/12/2017 à 10:22:48
Très beau Virgile! | |
banniange-deleted |
Posté le 16/12/2017 à 13:18:48
Très réussi | |
Verdon |
Posté le 16/12/2017 à 15:45:17
Magnifique ! Amitiés |
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Yuba |
Posté le 16/12/2017 à 16:26:43
Beau ! Joliment rythmé ! | |
jacou |