Ses regards sont si flous,
Là-bas sous la tonnelle
Et moi je deviens fou,
En la voyant si belle.
Assise sur un banc,
Dans sa robe en percale,
Ses cheveux noirs encadrent,
Son visage si pâle.
Ses genoux sont serrés
Et cachent bien des promesses,
Je n'ose imaginer,
L'arrondi de ses fesses.
Sur ses épaules voûtées,
S'échouent deux longues tresses,
De cette jolie poupée,
J'en ferai ma princesse.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amour
Publié le 16/02/2015
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Commentaires
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Posté le 16/02/2015 à 13:36:18
Un tableau aux belles lignes ...bravo l'artiste! Amitiés |
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Yuba |
Posté le 16/02/2015 à 14:48:30
Sympa | |
Victor |
Posté le 17/02/2015 à 20:47:38
Quelle belle esquisse de la beauté féminine à travers un regard amoureux ! | |
Florent |