Les quais de gare,
Sont interdits,
Aux pleurnichards,
Peu dégourdis.
Elle dans le train,
Lui sur le banc,
Pleure dans ses mains,
Bonheur d'antan.
La nuit repeint,
Ses murs en noir
Et son destin,
En désespoir.
Écrit par virgile
On ne peut être poète sans quelque folie. Démocrite.
Catégorie : Amitié
Publié le 11/02/2015
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Commentaires
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Posté le 11/02/2015 à 11:24:36
Les nuits se succèdent ...et ne se ressemblent pas... Amitiés |
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Yuba |
Posté le 11/02/2015 à 21:36:42
Votre écriture directe et tranchante, amenée par un rythme volontairement saccadé et des images qui suggèrent infiniment plus qu'elles ne disent, donnent à ce poème une aura de tristesse poignante et touchante ! | |
Florent |
Posté le 11/02/2015 à 21:42:21
Bon jour, J'aime les courbes de cet écrit, Fluide, ombrageux, tout est dit ! Max-Louis |
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Max-Louis |