Venus pour l'entité divine,
Dites moi : "toi le père",
D'un baiser sur la poitrine,
Faites des morts une terre.
Encore loin du cordon, le miel,
Dites lui : "elle la mère"
Elle rit dans un coin, de plus en plus belle,
Et nous chante à l'envers.
Venus pour le sourire d'un ange,
Dites leurs : «vous les bergers",
Je m'assoie ou nul ne dérange,
Je serais sous un chêne, pétrifié,
Je construis ses peines,
J'imagine ses larmes,
Et fait couler son Eden
Sur le bord de ses charmes.
Alors il s'agitera comme une peau,
Sur l'oreiller d'humbles cantiques,
S'agenouillera, fleuri, et de son berceau,
Tendra ses mains douces et mélodiques.
D'autres sont venus...
En confiante mauvaises âmes,
Veiller sur son dévolu,
Mais d'une porte muette nos doutes se calment.
Glissons l'oreille :
Ça crie " fils ! Mon or est fils"
Écrit par unairdefamine
la foi donne, l'amour reçoit
Catégorie : Amour
Publié le 20/04/2009
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