Contrée sauvage que la bêtise des Hommes salit
Enfant qui vit, sous l'emprise des Hommes, meurtrie.
La rencontre des deux est inévitable,
Le contact avec l'Esprit inoubliable.
La nature s'épanouit
Narguant les Hommes, elle s'étend
L'enfant grandit,
Apprenant à vivre, parcourant les champs.
Alors que le vent court dans les prés,
Elle laisse sa main caresser les blés.
Innocence éperdue,
Bonheur absolu.
La petite fille sourit aux éléments
Qui la façonnent de leurs chants.
Ses sens s'éveillent, elle apprend à voir et regarde
Une Terre souillée où les Hommes ignorent les mises en gardes.
Indignée, elle se détourne, préférant le noir,
L'ignorance. Elle veut vivre sans savoir.
Solitaire, heureuse à jamais
Séparée des Hommes qui ne savent plus aimer.
En contact incessant avec la vie
Ce lien qui l'unit à la nature grandit,
La demoiselle oublie les limites du corps et de l'esprit
Et devient elle-même source de vie !
Écrit par tourbillondemots
j'écris et je vis,
j'apprends et j'oublis Catégorie : Divers
Publié le 27/09/2007
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bel écrit ! | |
Alexandre-glaucos |
sentiment d'injustice : nous sommes obligé de vivre dans un monde tel quele notre, besoin de fuite, d'une issue et elle ne se trouve que dans nos mots... hommage et demande de pardon à la nature ! | |
tourbillondemots |