Sur un banc délaissé, un journal, sans couleur,
Déplie sa couverture grise.
Il prédit, monotone, la plus grande chaleur
Cependant qu'il frémit sous la brise.
Au centre, une fontaine sale
Attire la volaille arrivant du soleil.
Le pain flotte, la monnaie cale,
On sent de tout le lourd éveil.
Aux premières lueurs on entend le cui-cui
Habituel. Les oiseaux chantent.
La mélodie en boucle est d'un mortel ennui
Un souffle de beauté, mais qu'ils nous désenchantent.
L'air délicieux est étouffé
Derrière les buissons, à l'ombre d'un érable ;
C'est là que tout a commencé,
En quête de paix véritable.
Écrit par superfullvic
Un rêve, une étincelle, une illusion de bonheur...
Catégorie : Divers
Publié le 28/04/2010
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Commentaires
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Posté le 29/04/2010 à 00:21:04
bonsoir superfullvic, "le parc" tout peut arriver, est-ce le début d'une avanture à te lire |
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marie-ange-old |