Muse insoumise,
Tu te pavanes
Telle une amazone,
Farouche cavalière,
Cette intemporelle beauté
M'emporte tout contre elle.
Au firmament
S'en vont en rampant
Les autres courtisants si impudents.
De peur de ne pouvoir braver l'enfer,
Certains renoncent à ce graal
Sans même un seul remord.
Car, de toute évidence,
De ne pas en avoir rêvé
Ils en sont déjà morts.
Un soleil s'éteint,
Et c'est tout un univers qui sombre,
Mais s'il en vient un qui s'éveille
Son vermeil n'aura jamais plus son pareil.
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Commentaires
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Posté le 14/05/2007 à 21:29:37
très beau poème smohalla | |
m4l4k4 |
Posté le 14/05/2007 à 21:35:02
merci m4l4k4?? | |
smohalla |
Posté le 14/05/2007 à 21:40:51
Très joli... | |
Mider |
Posté le 15/05/2007 à 08:40:29
Tu as tort, Smohalla. Le soleil ne s'est pas éteint ... | |
Nighty |
Posté le 15/05/2007 à 13:07:05
Le soleil n'est rien d'autre qu'un amour qui né ou qui meurt | |
smohalla |