Allez lève-toi, je sais que le ciel est bien lourd.
Le ciel, la Terre, l'univers est-ce que je sais moi ?
Pourtant avant que la nuit nous joue des tours
Il nous faut inhaler cet air insipide.......Quoi ?
Pendant que je me traîne, malfamé vautour
Quelles questions dois-je me poser, de toi, de moi ?
La foudre et ce que je te porte comme Amour
Me fait regarder le soleil en coin encore une fois
Pourquoi dans mon cœur tout me joue des tours.
La fougue nous a emportés loin de tous nos ébats
Je compte comme un damné les fleurs des jours
Et je compte les fleurs des nuits exemptes d'éclat.
Je t'ai perdue dans le brouillard pour toujours
Si l'on me juge ou pardonne alors pauvre de moi...........
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Commentaires
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Posté le 12/10/2017 à 23:40:50
Les deux rimes donnent une tonalité régulière à votre bon poème, qui se lit avec agrément. | |
jacou |
Posté le 12/10/2017 à 23:43:31
Happée par cet éclair, cette belle lecture m'a plu. Merci. | |
suane |