Comme une pierre qui tombe du ciel,
lorsque mon cœur s'ouvre en deux,
comme cette spirale qui m'éloigne d'elle,
quand mon cœur, qui part,ou il veut
le vent et la vie ne m'épargnent pas.
Je ne suis plus rien quand tu n'es pas là.
Comme un carrosse noir qui part dans la nuit,
et que mes yeux te cherchent et te perdent de vue,
comme le brouillard vient après minuit,
mon âme toute entière hurle dans le dédale des rues.
Le vent et l'amour ne m'épargnent pas,
je ne suis plus rien quand tu n'es pas là.
Tes adieux m'ont complètement cloués,
mon sang et mon corps,se glacent à mort
quand tu n'es pas là : ou voir,ou regarder ?
Dans cette tourmente,je deviens Matamore.
Le vent et l'amour ne m'épargnent pas,
je ne suis plus rien quand tu n'est pas là.
Tous les nuages sont remplis de corbeaux,
Le Diable noir m'emporte dans ses draps,
il me tire par les pieds,pas pour de faux,
me murmure je t'aime en me tendant les bras.
Le vent et l'amour ne m'épargnent pas,
je ne suis plus rien, rien du tout, sans toi.
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J'aime la répétition des deux vers qui sequencent ce poème émouvant traitant de la séparation | |
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