Ma plus folle camarade, compagne d'ambuscade
A la perversité semblable à celle de Sade
à la voix éméchée une fois minuit passée
Au rire menaçant les saouls sans les saouler
s'il faut te rendre honneur
Mes mots viendront du coeur
A toi, jeune fille bohême decuvant en lisant
A toi l'artiste même, toi et tes yeux d'enfant
Qui côtoie le thêatre, la sculpture, la peinture
Toi qui n'epargne pas le pêché de luxure
S'il faut te rendre honneur
Ces mots viennent du coeur
Mon amie la plus vraie, la plus rocambolesque
Tes ambiances aux senteurs abracadabrantesques
Offrent une chaleur dont j'aime m'approcher
Et invitent mon respect à t'être délivré
Si je te rends honneur
C'est que tu as du coeur
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Commentaires
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Posté le 22/08/2009 à 14:27:42
J'aime beaucoup la dernière strophe qui change ^^ C'est très beau on dirait une valse de mots ! | |
Riane |
Posté le 23/08/2009 à 01:33:28
C'est un très bel honneur scellé par un talentueux récit sincère. j'ai beaucoup aimé. Amitiés. |
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Sobri |
Posté le 23/08/2009 à 22:20:22
superbe et sublime tes mots sont un océan merveilleux de précieux hommage fascinant a te lire bisous sucrés^^;=)) | |
1958 |