Malgré la brume
matinale,
amertume
idéale,
des matins
givrés,
je contemple depuis
ma fenêtre,
et puis
tout mon être
se sent épuisé ...
L'automne
est déjà là
saison monotone
du trépas.
Je transcris
ces lignes maladroites,
un espoir de paradis
soit ...
Toi, là-bas,
à Paris banlieue ...
Déjà,
le merveilleux,
sublime soleil
de septembre,
si tendre ...
Je regarde les gens
qui passent,
interrogeant
l'espace,
le café
apaise mon spleen,
pour espérer
l'abîme.
Je pense à toi,
espoir de bon aloi,
le paradis.
Sylvain.
Écrit par romantique
"sur les pas du grand Meaulnes...lors de la fête étrange il poursuit sa quête..."
Catégorie : Pensée
Publié le 17/01/2019
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Commentaires
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Posté le 17/01/2019 à 20:55:25
Mélancolie ... Par ce soleil si absent et si présent dans les mots... Bravo Sylvain ! |
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Yuba |
Posté le 17/01/2019 à 21:08:45
Ouf, je reprends mon souffle. Avalé d'un coup votre poème au rythme preste, que les vers courts font courir. J'apprécie également cette tournure au galop des sensations notées. Merci Sylvain. Amitiés :) |
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jacou |