Un gris argenté
Vient se parer de doré
Cette couleur indéfinissable
Qui me rappelle à tous les sables
Des sabliers des temps perdus
Où je ne perds plus la vue
Celle de croire que demain
Argent peut devenir satin
Mordoré ou teinté d'or
Arrimé à un bon port
Le port des êtres qui patientent
Où se perdent les jours d'attente
Que le noir se teinte de gris
Et que le gris crève l'ennui
Jusqu'à déflorer l'espace
De tous ces bonheurs fugaces
Qui font de nous des éternels
Insuffisants devant l'intemporel
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Commentaires
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Posté le 17/05/2011 à 03:36:38
Ci-haut, mystérieux, anonyme commentaire de W qui se manifeste en double. | |
W |
Posté le 17/05/2011 à 04:46:28
Des six derniers poèmes comme un trait d'union au malaise ! Le sablier du temps demande patience et ténacité. Belle poésie et "Courage" Amitié |
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zenobie |
Posté le 17/05/2011 à 06:47:17
J'aime ce temps qui passe,mais toujours fugace ! Superbe Philo ! bisous Louann |
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louann |
Posté le 17/05/2011 à 07:27:29
tout en nuance nuancé d'un gris mais viendra je l'espère un magnifique bleu... bonjour Philomène* |
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MARIE L. |
Posté le 17/05/2011 à 09:12:38
Nostalgie du temps qui passe et rêverie du temps qui vient. L'instant présent est peut-être suffisant? Beau poème qui entrine à la méditation... |
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saumon |
Posté le 17/05/2011 à 10:19:41
Des couleurs magnifiques et chaudes qui me font penser à la magie du soleil couchant sur les dunes. | |
TANGO |
Posté le 17/05/2011 à 13:02:12
Posté le 17/05/2011 à 18:00:55
merci à tous | |
philomène |
Commentaires
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