Caro
toi, qui ne lira jamais
C'est à toi, matin d'été, te rendre hommage
toi ma Belle, petit bouquet de printemps
tu avais 20 ans et moi et moi et moi, quel âge
juste à l'approche de la quarantaine, arrêt sur le temps !
Jamais, jamais pourrai t'oublier
enfant perdue, comme je l'étais
sur le chemin de croix, nous sommes trouvées
nous sommes aimées, déchirées.
Tu fus le feu de mes incertitudes
Emmurées toutes deux dans la solitude
Quitter les hommes, aimer les femmes
Me suis agitée dans ce dilemme
De ton massage sur mon corps
Si fragile, prisonnier de mon bourreau
Ma tête explose de désaccords
Du correct, et principes moraux
Tu m'as révélée, l'être qui se cachait
Corps silence, corps meurtri
voulais pas voir
pouvais pas croire
Des pleurs, des joies, des doutes
Pour arriver seule à ce coming out
Dans ma tête un jeu de flammes
Je danse pour toutes ces femmes
Merci ma Caro !
Écrit par peace and love
une femme d'amour
Une femme avec une femme Catégorie : Amour
Publié le 17/12/2008
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