Il neige des étoiles
Sur les grains du désert,
D'un pas lourd, je me perds
Sur la dune qui s'étire
Et le pas si profond
Et le vent si brûlant
Près du lagon,
Le souffle de la terre
La pensée indolente
Glisse vers le silence
Un chapelet de tentes
Ouvre la caravane,
Adossé au palmier
J'entends gémir le vent,
Le souffle du désert
La dune enfante la dune
Que j'imagine danser
Comme des flots vaguant
De l'infini silence
Au désert de l'absence.
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Commentaires
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Posté le 21/09/2020 à 06:13:26
Bonjour, Le magnifique quatrain final clos votre poème de manière magistrale. C'est très beau. Merci |
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Iloamys |
Posté le 21/09/2020 à 15:58:35
La dune enfante la dune Ainsi se réinvente le désert Par le silence et le vent Merci et bravo Okbanaji pour cette belle poésie ! |
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Yuba |
Posté le 21/09/2020 à 18:37:26
Bonsoir, Corps silencieux qui danse tel des Voiles doux balancé par un Vent chaud .. J'aime beaucoup ce qui s'en dégage .. Instant de Plénitude ! Merci du Partage, LyS .. |
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Lys-Clea |
Posté le 21/09/2020 à 20:11:25
Délicieuses saveurs poétiques que tu nous offre là. Le désert et le calme exquis merci | |
philomène |
Posté le 22/09/2020 à 23:23:40
Merci beaucoup. | |
okbanaji |