J'avais toujours peur de mon échelle en bois
Je fracassais mon squelette à maintes fois
Je défiais les ordres du jour éligible
Sur le toit la lessive m'était pénible

Aux cimes de l'échelle se vidaient mes pieds
Du sang et d'oxygène de notre plain-pied
C'était une époque auto chétive
Pleine de la chair de poule destructive

Je haïssais les regards orgueilleux de voisins
Lorsqu' ils prétendaient visiter mon cousin
Ils voulaient voir l'ampleur de notre pauvreté
La vieille échelle montait sa gravité

Je me rendais compte que c'était un pilier
De réussite et d'un dur travail journalier
Qui suscitait tant de types d'idées liantes
Et beaucoup de choses hautement pertinentes

Des nuits saturée d'étoiles frétillantes
Des nuits sises près de l'âme alarmante
Les rangs de l'échelle m'étaient un pas lueur
Vers des objectifs même s'ils étaient rieurs

Merci mon premier professeur qui n'était qu'un simple vendeur de tomates