Sur les océans, libre oiseau de passage,
J'accoste et je repars, comme ces courtes marées
Vivant le long des quais, voguant loin du rivage
Dans cette vie de débauche, tu es mon seul regret
Sont-ce tes yeux qui me guident en ce ciel plein d'étoiles
Est-ce ta voix qui gronde quand l'horizon se voile
Sont-ce tes larmes qui coulent lorsque ruisselle la pluie
Car oui je t'ai trahi et je m'en suis maudit
J'aimerais tant, un jour, m'amarrer à ton corps
Louvoyer en tes hanches, jeter l'ancre en tes seins
Tes taches de rousseur seront mon unique port
Je sombrerai au fond de ton coeur abyssin
Tes sept mers sereines engloutiront ma haine
Tu as noyé ma peine sous ton chant de sirène
Écrit par martin
le monde est merveilleux lorsque l'on est heureux
Catégorie : Amour
Publié le 07/07/2011
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Commentaires
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Posté le 07/07/2011 à 08:02:26
Les erreurs se paient parfois au prix fort . Il faut de la volonté pour surmonter les échecs . Ton poème exprime bien ce désarroi intérieur. | |
TANGO |