Une fête brillant de mille feux
Ta silhouette qui s'en détache au milieu
Et mon coeur s'embrase lorsque tu avances
Porté par le rythme de la danse
Tu te rapproches, belle, comme éthérée
Et nos lèvres se scellent en un baiser
Envoyant au diable les bien-pensants
Profitant seulement de l'instant
Mais soudain sonne le glas du réveil
M'éloignant à nouveau de cette merveille
Et recommence le cycle des journées
A tes côtés, transparente, ignorée
 |
Écrit par lyariana
Il n\'existe que deux choses infinies, l\'univers et la bêtise humaine... mais pour l\'univers, je n\'ai pas de certitude absolue.Albert Einstein
Catégorie : Amour
Publié le 14/01/2014
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
| Poème Précédent |
Partager ce poème:
|
Poème Suivant |
| Amour à découvrir... | Poèmes de lyariana au hasard |
Commentaires
| Annonces Google |
Posté le 18/01/2014 à 20:07:44
 |
J'ai souri à la lecture de ce "rêve brisé" si bien retranscrit, car bien souvent le rêve s'évapore... |
Octavie  |
Posté le 22/01/2014 à 08:58:14
 |
Un peu comme cendrillon qui fuit au douze coups de minuit ! Magique. |
MARIE L.  |