Mes membres tremblent malgré moi,
Comme stimulés par un intense froid.
Comment stopper ces méfaits,
Par une force inconnue apportés.
Ma respiration se bloque, comme tétanisée,
A la vue d'une fumée noire amenée
Devant mes yeux, par la peur survenue,
Du fin fond de ce jeune cœur menu.
Ce jeune cœur, qui jusqu'à présent lié,
Se retrouve orphelin, et déchiré.
Il n'entend plus ces battements marqués,
Sur lesquels, son tempo il avait basé.
Les membres secoués, la respiration bloquée,
Et le cœur dérouté, sont les symptômes,
D'une vie à jamais bouleversée,
Par le visage d'un fantôme du passé.
Écrit par luron larzac
Un jour peut être
Catégorie : Triste
Publié le 06/10/2008
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Commentaires
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Posté le 06/10/2008 à 20:28:43
Une tristesse et des angoisses que j'ai connu, je pense ... Un jour, le moment venu, on en guérit. Courage ! Et bienvenue à toi ! |
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Nighty |
Posté le 07/10/2008 à 22:11:06
très beau poème auquel je me laisse transporter,bienvenu à toi | |
nicky |