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Toi qui m'a offert la vie pour devenir poussière
Toi ma très chère mère tu n'aurais pas dû partir
Le double de mon âme qui m'a appris à sourire
La confidente qui emporta sur l'épaule ma misère
La femme au grand cœur dans un monde fou
Née sans chaleur maternelle sous tes doigts
Toi qui disais qu'il faut savoir encaisser les coups
si tu es à Terre relève-toi et baisse pas les bras
Toi mon miroir qui a connu tant de souffrance
Tu es un bon exemple pour poursuivre mon chemin
Tu étais la femme enfant de nos comptines qui dansent
Je dédicace de ma plume mes mots de chagrins
A la femme de mon cœur qui s'est endormi
Sans toi je dois faire le deuil à la femme de ma vie
Enfin ton nom dans mon cœur que le temps à gravé
Les mots que je n'ai pu dire à ma mère je t'aimais
Repose en paix maman, je ne pourrais jamais t'oublier
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Écrit par louveblanche
L'amour est le seul rêve qui ne se rêve pas.
Catégorie : Triste
Publié le 16/07/2015
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un poème écrit à la hâte me semble-t-il même si le fond mérite la compassion , la forme elle laisse à désirer ...fautes d'orthographe , syntaxe hasardeuse.... |
pat  |
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Un poème qui tord les tripes au lecteur qui comme toi a perdu cet être cher car une maman est unique, ton écrit est poignant et sincèrement émouvant. Pat a raison , dommage que certaines fautes dilatent légèrement tes vers sans leur enlever leur force et leur beauté fort heureusement, mais commençant à te connaître je suis sûr et certain que d'ici ce soir tu auras remédié à cela te sachant perfectionniste dans l'écriture. Bonne journée à toi avec mes amitiés matinales. |
mercury  |
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oui en effet c'est dur de perdre sa maman surtout quand c'est frais! Merci mercury pour l'appréciation de mon poème |
louveblanche  |
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les critiques sont bienvenue merci . . . Pat |
| louveblanche |
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