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La sensibilité est-elle un autre monde ?
Une autre dimension où nous sommes illuminés ?

où simplement illuminés..

*

Écrit par lo
\" Le poète est un grand mytho qui s\'invente des thèmes pour sourire, pour énerver, pour qu\'on lui dise je t\'aime \" Grand Corps Malade
Catégorie : Citation
Publié le 01/09/2008
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Posté le 01/09/2008 à 22:57:26
Peut-être simplement un autre monde ou juste une capacité que nous avons tous développés.
Le petit ange du 81
Posté le 01/09/2008 à 23:00:40
Tous développés mais à différents degrès ;)merci pour ton commentaire ^^
lo
Posté le 01/09/2008 à 23:02:06
De rien. Peut-être à différents degrés, effectivement mais je pense que tous ceux qui sont sur ce site on ce point en commun, la sensibilité, l'écriture. Ce site est magique!!
Le petit ange du 81
Posté le 02/09/2008 à 07:35:01
Belle réflexion,j'aime beaucoup.
Ramadi
Posté le 02/09/2008 à 09:13:39
A mon avis c'est la capacité d'ouvrir ses émotions sans les filtrer par son orgueil ou par la crainte de l'autre. Savoir utiliser ses propres émotions à l'état pur.
luka
Posté le 02/09/2008 à 13:47:33
La sensibilité c'est l'appellation désignée pour dire à quel point notre coeur est dur ou fragile aux choses qui le frappent, il n'y a rien d'autre à comprendre.
Fauve noir
Posté le 02/09/2008 à 13:56:32
Hé bien fauve noir, j'te trouve assez terre à terre pour quelqu'un qui a souvent la tête dans la lune! ;)
lo
Posté le 02/09/2008 à 15:02:39
Non, c'est juste que je ne vois pas l'interet d'expliquer des choses qui le sont déjà par une chose autre que l'homme. Plongez dans l'Océan de la sagesse afin de trouver réponses inutiles à des questions comme ce qu'est l'homme et vous comprendrez si vous en prenez le temps que ces choses là ne valent pas la peine d'êtres dîtes car elles sont trompeuses. Trop réfléchir peut amener à ne pas ressentir, et c'est en ressentant qu'on comprend, pas d'une autre manière; je l'ai compris il y a peu. C'est comme se demander le fonctionnement d'un coeur, pourtant c'est bien en l'écoutant que vous comprendrez ce qu'il vous dit, et pas autrement.

C'est perdu d'avance d'essayer de chercher une autre façon. Il y a tellement de question bassement materielle sur l'homme que l'on deviendrait fou à toutes les élucider; elles sont encore plus nombreuses que l'infini lui-même...
Fauve noir
Posté le 02/09/2008 à 18:51:22
Bonnes questions...je ne pourrai pas y répondre.
Michka
Posté le 02/09/2008 à 20:24:20
lol..ok. Bon une question aussi bête que celle que je viens de mettre en citation : pourquoi tu as-tu perdu ton temps à laisser un premier commentaire puis un deuxième plus long alors? ha vraiment...autant passer à autre chose non? bon ça c'est fait..Les gens sont tellement illogiques!

On a surement pas le même mode de vie, social, pro, sentimentale..mon mode de vie m'a ammené à me poser cette question..j'vais laisser réfléchir maintenant! lol!

En plus, c'est bizare parceque ton discours est bien raisonnable mais tu utilises des mots très abstraits..ça n'colle pas du tout..

Puis tu sais, si j'éxplique ça, si j'me suis poser cette question c'est que j'ai bien ressenti la sensibilité! lol!
lo
Posté le 03/09/2008 à 06:38:22
Tout simplement parce que j'ai du temps à perdre, mais c'est hors sujet. Cependant, j'ai constaté qu'il y a des questions dans lesquelles il vaut mieux ne pas répondre car elles induisent en erreur. Je l'ai constaté, ne me demandez pas le pourquoi du comment, j'ai simplement constaté. Ce genre de question que l'on cherchera à élucider sont des débats philosophiques en fait.

Et pourquoi chercher à comprendre comment il se fait que l'on ressente? Mon sentiment personnel est que cela ne sert à rien. C'est une sorte de trappe: vous passerez du temps, du temps à y réfléchir et au final ça vous amenera à ne pas vous poser les bonnes questions, pourtant des questions bien simples.

Prenons un exemple: une mère et sa fille qui ont une engueulade. La fille n'arrête pas de gueuler sur sa mère et sa mère réplique donc. Cependant, le fait de se demander le pourquoi du comment du fait pour la mère que sa fille lui aie gueulée dessus est très mauvais. Ne vaut-il mieux pas se demander pourquoi sa fille gueule mais d'une manière beaucoup plus simple? Ce que je veux dire, c'est qu'il ne faut pas se tromper entre "pourquoi" et "pourquoi":

- pourquoi: chemin qui mène si l'on se pose les questions à la compréhension totale des racines d'un comportement.

- pourquoi: enprenant l'exemple du cas présent: que la mère se demande pourquoi sa fille gueule comme cela. S'il s'agit d'une simple crise d'adolescente ou bien d'un problème plus profond. Je rappelle dans ce cas-ci que les adolescends ont souvent du mal à parler des problèmes qu'ils ont même à leurs parents et que le seul moyen qu'ils trouvent c'est bien souvent de lancer des signaux de détresse comme les engueulades dont la charge revient au destinataire de comprendre afin que le problème se résolve.

Comprenez-vous là où je veux en venir? Il faut savoir faire la difference entre ces deux pourquoi, et si justement j'ai participé ici c'était pour expliquer que justement il faut se méfier de toutes ces questions philosophiques car les deux chemins ne peuvent être suivis chacuns que par un seul raisonnement: l'un la recherche approfondie et l'autre la seule compréhension. Et je me suis apperçu que justement la compréhension "simple" est beaucoup plus utile dans la vie courante. Par exemple:

Imaginons un autre exemple qui n'a rien à voir avec le premier: deux personnes qui s'engueulent. Ne vaut il pas mieux qu'il yait une compréhension entre les deux personnes afin de résolver le problème? Expliquez moi alors l'interet de se demander pourquoi l'énèrvement par exemple existe? Je n'en vois aucun.

Je veux juste insister sur la nécéssité de ne pas se tromper de pourquoi. En d'autres termes, l'erreur que j'ai faite un jour de penser que je pourrai tout comprendre, absolument tout sur terre, les sentiments, les émotions etc en réfléchissant. Je me trompais lourdement et aujourd'hui je m'en rends compte. Peut-être y a t-il d'autres précautions que j'ignore à prendre mais je tâcherai à l'avenir d'aborder le pourquoi avec prudence.

Alors vous me direz: si les deux personnes suivent leurs sentiments dans leurs engueulades, les écoutent etc, la situation partira en vrille car ils écouteront en l'occurence leur colère. Oui mais non, car là le pourquoi est differend. Il s'agit de comprendre pourquoi ils en sont arrivés là et quoi faire pour que la situation s'arrange etc.

Il faudra, si on prend un autre exemple d'un frère et une soeur dans la famille, que les deux dans une engueulade se défoulent mais après comprennent leurs erreurs. Si cela s'arrête et qu'il y a d'autres engueulades, l'un qui aura le sentiment d'être par exemple traité avec injustice sera poussé vers la colère, et poussera la situation à dégénérer à nouveau, car sa patience sera au bout d'un moment à bout. Et également là je pense qu'il vaut mieux privilégier la conversation afin qu'il n'y ait pas de sentiments d'injustice (par exemple) de l'une des deux personnes.

Et ce ne sont que quelques exemples de faits parmis tant d'autres. Ce n'est pas à mon avis en essayant de comprendre le pourquoi de la racine du problème que les choses s'arrangeront mais bien en écoutant le coeur et en comprenant ce qu'il nous dit qu'une situation s'arrangera.

Voilà, je voulais jsute insister sur le fait qu'il vaut mieuxse méfier. Plus vous vous poserez des questions qui font remonter à la racine de l'homme, plus vous aurez de chance de vous tromper, et l'erreur est justement humaine.

Est-ce moi ou j'ai l'impression que vous ne suivez pas très bien ce que je vous dis?
Fauve noir
Posté le 03/09/2008 à 10:44:32
Jme dis juste que la sensibilité est propre à chacun. C'est un thème bien trop englobant qui détermine la façon dont nous percevons notre environnement, nos émotions. Il ne faut pas réduire la sensibilité à la fragilité. Etre sensible et s'accepter comme tel c'est rester ouvert à soi et aux autres, par intuition mais aussi par empathie. Je pense que la sensibilité n'est pas un autre monde bien que ce soit elle qui détermine la façon dont nous percevons les choses. Elle est pour nous comme une bulle au dessus de notre tête avec lequel on écoute, aime et réfléchit.
Alphaa
Posté le 03/09/2008 à 11:58:18
Je te comprends tout à fait ! Mais je ne suis pas d'accord ! lol^^
Tu vois je vais remettre ce que j'ai dis précédamment, et qui n'a pas été lu j'ai l'impression ( oui moi aussi je me demande si c'est moi où j'ai l'impression que l'on ne suit pas ce que je dis lol, t'inquiète sur ça on est sur la même longeur d'onde!) bref, comme j'ai dis, nous avons chacun notre passé, notre environnement social, pro, familiale, qui, même si selon toi, les questions de ce type sont inutiles, qui nous poussent à se les demander un moment où à un autre. Crois moi, cette question n'est pas sortie comme ça pour me faire plaisir de débattre ! bref, voilà, donc tes deux exemples n'ont rien à voir en ce qui concerne ma situation, mais c'est vrai que tu as raison quand il s'agit de ne pas se tromper de pourquoi ^^ en général...
Enfin bref, pour dire que le trop plein de sensibilité que j'ai dans le coeur, m'a fait surgir cette question, lors de diverses situations..

Et pour répondre à Alphaa, oui je suis assez d'accord avec elle, cet avis me permettra d'avancer un peu ^^ merci!^^
lo
Posté le 03/09/2008 à 12:22:41
Justement, là-dessus la vie n'est pas ce qu'elle devrait être. Quelque soit la situation de chacun, on devrait pouvoir y arriver. De toutes façons, le débat est si compliqué et remonte à un nombre de problèmes tels qu'il faudrait faire un exposé pour tout comprendre en fonction de chacun, donc je vais m'en arrêter là pour le moment. Quoiqu'il en soit, tout remonte au vécu, à l'enfance aussi et beaucoup, mais la sagesse en ce qui me concerne, il n'y a rien de plus trompeur.
Fauve noir
Posté le 03/09/2008 à 12:39:01
Je suis d'accord avec toi ^^
lo
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