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Les regards qui se croisent
Les adversaires qui se toisent
Les corps qui s'emmêlent
Des corps plus ou moins frêles.
Et puis il y a toi,
La musique et tes doigts
Qui m'enivrent jusqu'au bout de la nuit
Jusqu'au moment où tu t'enfuis.
C'est toujours comme ça,
A chaque fois, tu dis que tu ne résistes pas,
Que tu ne peux pas, et après
C'est comme si tu avais oublié ces baisers.
Oui, ceux au cours desquels tu me plaques
Contre ta bouche et contre un mur,
Au cours desquels tes lèvres m'assaillent et m'attaquent,
Au cours desquels tes yeux sont à la fois doux et durs.
Tu me parles d'attirance,
Que tu veux la jouer en toute transparence,
Mais je pense que le vrai problème
C'est que tu as peur d'un jour me dire que tu m'aimes.
Ça me met hors de moi ton paradoxe,
J'hésite entre info et intox ?!
Tu me dis que tu me veux
Mais, bon sang, prouve le !
Cherche mon regard
En dehors de ces soirs
Où, alcoolisé
Tu viens me courtiser.
Écrit par little dark girl
"En amour, une femme, c'est con !" Florence Foresti.
Catégorie : Triste
Publié le 28/03/2014
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attention dans la nuit de samedi à Dimanche on change d'heure ! plus sérieusement ce texte est intéressant par le fond et la forme rimée et rythmée! | |
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