Le 15 août se lit dans une attitude,
Afin de se contempler dans la multitude,
Les vacances pour moi sont écrasées,
Et ce malgré le ciel ensoleillé.
Je plane dans mon atmosphère,
Qui devient parfois un enfer,
J'ai la certitude aujourd'hui que je guérirai,
Comme si j'effaçais tout d'un trait.
La positivité est toujours celle qui m'a gagnée,
Penser autrement n'est pas un fair-play,
Comme le papillon qui s'envole dans la rosée,
Il résiste à une chaleur concentrée.
Apprendre à vivre n'est pas de s'interroger dans un miroir,
Les gestes futiles pour moi sont dérisoires,
J'ai une cible mais un objectif,
Me ficher de ceux qui me jettent sur le vif.
Sauver sa peau est un défi à la vie,
Même si personne n'a rien compris,
La relaxation est un excellent dérivatif,
C'est apprendre une discipline et non couper les tifs.
Écrit par lisezmoi
De même qu'il faut de la souffrance pour connaître le bonheur, il faut de la prose pour qu'il y ait poésie.Edgar Morin
Catégorie : Divers
Publié le 15/08/2013
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j'aime beaucoup ton poème, qui non seulement beau et bien écrit mais thérapeutique pour nous tous qui portons ; tous, des plaies secrètes, ton tonus et ta niaque te seront fort utiles, c'est sûr ! | |
flipote |