Dans le vrombissement des bagnoles,
S'élève comme une danse de carmagnole,
L'étourdissement de la vitesse,
La voiture alors devient une déesse.
La force du risque n'a pas de prix,
C'est l'euphorie qui fait son génie,
Le mental des pilotes est là à chaque instant,
Fixé sur le rétroviseur à tout moment.
J'aime se sport comme un dépassement de soi,
Forcer le destin avec un minimum de foi,
Et s'envoler sur le circuit avec apparat,
Au revoir le stress la précision doit être là.
Contrairement aux gens qui n'ont plus d'endurance,
Les pilotes savent jongler avec la patience,
Jour et nuit les yeux écarquillés,
Une pensée pour schumacher qui s'avait tout remporter.
Écrit par lisezmoi
De même qu'il faut de la souffrance pour connaître le bonheur, il faut de la prose pour qu'il y ait poésie.Edgar Morin
Catégorie : Divers
Publié le 15/06/2014
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Commentaires
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Posté le 15/06/2014 à 18:37:03
Merci lisezmoi pour ce poème fort original ! Si je puis me permettre une toute petite remarque, au second vers de la 3e strophe, "foie" ne devrait-il pas s'écrire "foi" ? Mea culpa si je me trompe. Bien à vous. Florent |
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Florent |