Le soleil inonde le trottoir de Paris,
Sous mon pas chancelant mon souffle se raccourcit,
La population s'égare et la vie me semble courte,
Plus de peur n'y d'ailleurs je vis là ma première déroute.
Le ciel brille de tous ses éclats,
Pendant que moi je m'en vais à petit pas,
Le crabe les soins je les ai dépassés,
Et après tout je m'en fiche pour l'éternité.
Le poison des chimios je n'en veux plus,
Je crois simplement à ma religion résolue,
Fatiguée exténuée je le suis à l'extrême,
Mais j'écris encore pour les gens que j'aime.
Écrit par lisezmoi
De même qu'il faut de la souffrance pour connaître le bonheur, il faut de la prose pour qu'il y ait poésie.Edgar Morin
Catégorie : Divers
Publié le 20/03/2014
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Commentaires
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Posté le 20/03/2014 à 12:37:35
"j'écris encore pour les gens que j'aime"... si cela vous aide, ne vous en privez pas! Tous mes encouragements. |
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Mokolo |
Posté le 20/03/2014 à 17:42:10
BEL OUVRAGE DONT LE DERNIER QUATRAIN EST SUBLIME,,,,,, COURAGE L'AMIE | |
flipote |
Posté le 20/03/2014 à 22:45:33
écrivez et vous verrez qu'il y aura toujours quelqu'un à l'autre bout du vers à écouter avec plaisir ou partager avec amour, écrivez et vous verrez que le soleil ne peut être seul, et même s'il arrive qu'il se cache, ses amis l'attendront à chaque aube...cordialement un petit zeste d'amitié... | |
zeste |