Depuis le temps de ses adieux,
Tu t'enfermes, tu deviens vieux.
Dans le malheur tu te complais,
Tu te sens triste, tu te sens laid.
Depuis qu'elle est partie,
Ton chagrin est sans répit.
Fermées les portes de ton coeur,
A doubles tours et sans chaleur.
Tu ne peux pas vivre sans elle,
En partant t'a coupé les ailes.
Tout espoir d'un monde nouveau,
Dans ta mémoire c'est le cahot.
Pourtant quelque part en toi,
Brûle encore la flamme, la foi.
Ouvre ton coeur et ton esprit,
Alimente la flamme de la vie.
Il n'a besoin que d'un geste
Lui, il fera le reste.
Ce feu, cette flamme éperdue,
Qui attend d'être mise à nue.
Beaucoup n'ont pas choisi de partir,
Par respect pour eux tu dois bâtir,
La maison du bonheur dans ton coeur
Et ce, sans regrets et sans peurs.
Ecoute la qui gronde, la flamme de la vie.
Elle attend de toi simplement que tu souris,
Pour jaillir de ton être, tel feu bienfaisant,
Et te montrer encore de nouveaux firmaments.
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Très bel écrit Lilipome, la vie doit être toujours plus forte que tout. | |
shakya |
C'est très beau à lire | |
Tof |
J'aime beaucoup ta façon d'écrire ;-) félicitations lilipomme ! | |
Alphaa |