D'Elles je garde en mon temple intérieur,
La douceur de leur voix qui font mon réconfort
En un subtil mélange de sucre et d'or ;
Je glisse sur ma peine en nos instants rieurs.
Le temps est fugace quand s'étire la joie,
Et s'allonge infiniment quand vos voix résonnent.
Vos mots sont de précieux cadeaux que l'on donne,
Et que je garde à l'heure où l'angoisse entre en moi.
Avec vous il n'y a plus de peine, de spleen ou peur :
Votre ode chasse au loin les forêts de malheurs.
Alors que vos rires tonnent à mon oreille,
Un long trait d'or fend la voûte céleste
Chassant d'un éclair mon nuage sans soleil :
Et nos moments s'égrènent, et nous souvenirs restent.
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Écrit par les-fugitifs
"Je suis prêt à crier à la face du monde" Fédor Dostoïevski
Catégorie : Amitié
Publié le 09/07/2024
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Commentaires
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Posté le 11/07/2024 à 10:59:39
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Bjr, Magnifique Sonnet .. Belle Forme de Vase où les Mots sont " Elles " à cueillir... BRAVO !! LyS .. |
Lys-Clea ![]() |
Posté le 12/07/2024 à 01:25:16
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Bravo un texte très délicat et magnifiques conclu. |
Zooey ![]() |