Au pays où il ne pleut pas amour paix et caresses,
mon cœur a vibré au moment où je le croyais funèbre et malheureux ;
Tel un météore fulgurant foudroyant mon habituelle paresse,
a ébranlé tous mes sens par ce sentiment vertueux et affreux.
Émerveillé, fasciné, emporté par cette rouquine enchanteresse ;
Svelte, timide, attentionnée au ton féerique et doucereux ;
Qu'as-tu de spécial à part cette ingéniosité et cette finesse,
apparente sur ton regard onctueux, devin et voluptueux.
Rien que pour ça, mon âme, mon esprit resta coi ;
Égaré, pensant et cherchant sans savoir quoi ;
Mais où t'ai-je déjà vu, toi ?
Dans mes rêves chimériques pleins de frissons et d'émois ?
Non je connais bien ce regard timide et ce sourire narquois !
Je les ai rencontrés une nuit en explorant l'anarchie qui est au fond de moi.
Écrit par lefouttu
ma fouttue belle vie est ainsi faite, alors no importa.
Catégorie : Amour
Publié le 30/01/2011
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amour à découvrir... | Poèmes de lefouttu au hasard |
Annonces Google |
Très bel écrit, fluide, belles métaphores! Merci. | |
lo |