Un homme à l'allure bestiale,
Est harnaché à son sort,
Comme pour contenir son râle,
Devant lui seulement des bords.
D'autres hommes vêtus de blanc,
D'un calme si certain,
Sourient à la vue de ce plan
Et méprisent de leur point de vue divin.
La pauvre bête espère encore,
Par son imagination,
Mais en vain elle Lutte à tort,
Se heurtant aux murs de la prison.
Ses angoisses se taisent,
Grâce à la solution,
Son esprit s'apaise,
Elle se complaît dans l'aliénation.
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Écrit par le petit chose
il vaut mieux vivre sa légende personelle pluôt que de la chercher
Catégorie : Divers
Publié le 05/07/2009
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Commentaires
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Posté le 06/07/2009 à 06:03:51
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Me rappelle l'ambiance d'un roman italien, malheureusement oublié le nom de l'auteur. L'aliénation sans souffrance ? Impossible ou possible ? |
zenobie ![]() |