Il s'agira ici de s'approprier dans un maximum de sa dimension la réalité humaine, de connaître aussi les limites de la façon dont on peut ce l'approprier. D'autres écritures ultérieures peuvent êtres possibles au vu des difficultés à saisir la particularité du problème. Toujours est il, il s'agit d'en exprimer quelques idées ou orientations liées à certains questionnements.
Qu'est que tout d'abord le fait humain ? quel en est la condition qui peut être en regroupe plusieurs ? Quels en sont les caractères ? comment peut on l'aborder ? Quels sont les meilleurs moyens de l'aborder ?
Un premier temps sera accordé à l'étude du fait humain et à son évocation. Un second temps nous conduira au procédé d'étude, aux façons dont on peut l'aborder. Vous comprendrez ici, qu'il me faut déjà partir d'un présupposé sur l'objet pour ensuite parler des méthodes d'étude.
Le fait humain implique une réalité propre à l'homme ainsi qu'à ses conséquences matérielles et immatérielles sur lui et son milieu de vie de même ce fait est lié à la condition de l'homme qui ce nivelle à plusieurs niveaux de son existence. Il y a donc, une multiplicités de dimensions à ce fait, un contexte dans lequel il est insèré qui le délimite, une réalité et de même qu'un caractère propre que l'on pourrait résumer dans le fait que fondamentalement il y a une subjectivité humaniste qui évolut et enfin une dynamique impliquée par la condition.
Le mot fait, manifeste une réalité mais à la fois aussi une relativité par rapport à cette réalité puisque si la réalité en question n'existe pas il ne peut y avoir manifestation. En sens inverse le fait que il y ai une manifestation au sein d'une réalité atteste de la validité de cette réalité, relative elle même ou non à quelque chose. Puisque manifeste uniquement au sein d'une réalité perçut communément, l'homme et son fait ( l'attestation par sa manifestation ) est lié à deux conditions qui relativise a priori son existence directement contrairement à ce qui pourrait être déduit. Je pense que l'homme est à la fois relatif directement avec la réalité mais aussi directement avec si il y a oui ou non relativité ce qui relativiserait la réalité même et non pas indirectement par l'intermédiaire de la réalité dans laquelle il évolut. Cela tient à ce que chaque homme a deux façon de progresser dans le monde : d'une part, de manière purement pratique en lien et sous condition de la réalité effective et d'autre part d'une manière individuelle qui serait la façon pour chaque individu d'envisager, de s'approprier le monde, d'en déduire plus ou moins des réponses pour avoir une lecture en lien avec ses questionnements. Ici, chaque individus a ses questionnement lui même et je pense, que plutôt que de trouver une réalité transcendante ou immanente que je n'exclut pas l'individu procède plutôt à une recherche touchant plus à lui même, à sa réalité en propre. De ce fait, en interrogeant le monde, il s'interroge lui même. Ici, le monde devient un médiateur entre le sens pratique de ses actes et sa finalité pour lui même en tant qu'individu. Sous cette double condition et selon l'évolution dans le temps de l'individu, celui-ci va systématiquement mettre en adéquation son sens pratique ou action pratique avec les réponses fondamentales qu'ils aura trouvé durant sa vie ou du moins les positions par rapport a son appréhension fondamentale qu'il aura prit.
Cela s'articule avec un deuxième point. On peut concevoir l'être humain comme un lieu de réception et d'interaction d'où résulte sa réalité. Par les sens et sa manière d'appréhender le monde l'homme le reçoit, ce le représente, le conçoit, invente, agit. Cela pourrait définir quelque chose qui est commun à tous les êtres humains qui serait une sorte de "subjectivité humaniste" dans le sens où chaque homme est lié par ce fait là de concevoir les choses. Il ne s'agit pas ici de subjectivité individuelle mais bien d'un caractère propre à l'homme que j'essayerai de développer ultérieurement. Le fait humain est la manifestation de notre présence dans la subjectivité de notre espèce.
Cela nous amène à un autre point. Quelles sont les marques de notre présence, le contexte, les implications, les dimensions extérieurs à l'homme et interieurs ?
L à encore je suis dans l'impossibilité de finir le texte ayant perdu mes notes et ayant décroché. L'important pour moi étant d'arriver à l'élaboration de textes.
Il s'agit ici de prendre des postulats qui montrent une conception sur une réalité. On peut prendre l'idée d'un être humain de manière générale, de l'Homme en tant qu'idée et enfin la relation de l'Homme avec la réalité à double sens (à la fois le produit de l'Homme et sa rétroactivité), afin de brasser le plus largement possible les dimensions de notre réalité de même que d'en saisir l'unité mais à la fois aussi "l'éclatement".
Je pense qu'un être humain a une réalité en propre qui est en quelque sorte une vie immédiate à sa vie, point initiale de toutes expériences mais aussi solitude de son être et subjectivité. Cela va conditionner le déploiement du propre sens qu'il donne à ce qui n'est pas lui, à ce qui lui est extérieur de même que le sens de ses actes. Le fait que ce monde ne soit plus lui mais autre provoque une distinction, une distance et des repères qui provoque à partir de sa vie immédiate à sa vie (qui ne disparaît pas) une séparation et une vie extérieur ultérieur dans le monde où il se dégage. C'est ainsi que l'individu en tant que correspondance immédiate à sa propre réalité l'institut comme point de départ tourné vers l'extérieur qui arrive après ce qu'il est. Pour se déployer dans la réalité l'individu à besoin de plusieurs repères afin de se construire en tant que personne pour pouvoir s'exercer dans la réalité. Il est très difficile de répertorier ces repères qui ce recoupent sachant que l'on peut considérer qu'il sont inscris dans plusieurs types de dynamiques. Il y a ce qui est matériel de ce qui ne l'est pas, il y a l'espace et le temps, il y a les codes, normes valeurs sociales et culturelles, son identité personnelle et à la fois si il y en a son identité d'appartenance à un groupe. Il s'agira ici d'en établir l'unité chez quelqu'un de même que la place prise et de faire une extension sur la dynamique d'éléments qui ne sont pas figées.
L'être humain est inscrit dans une temporalité, c'est à dire mouvement matériel et immatériel dans l'espace et le temps. Ce qui signifie que par adjonction de ses éléments en lui il y a une unité et une ouverture de cette adjonction qui permet son déploiement et la construction de multiples échelles relative à son produit et à sa condition contingente qui le manifeste au fils de son évolution. C'est la condition fondamentale de l'être humain qui en fait son unité, sa temporalité, le fait qu'en tant qu'être vivant immédiat à sa vie et en premier lieu seul qui est un caractère inconditionnel, mais qu'en tant que vie inconditionnelle il soit projeté dans un espace qui le manifeste c'est à dire qui étire cet immédiat source de séparation, de distanciation, de marquage de repères. En dernier lieu de cette partie, il s'agira d'évoquer quelque chose de propre à l'homme dans son marquage en différence avec le monde qui l'entoure : "La subjectivité humaniste".
Écrit par jokopoulos
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Catégorie : Divers
Publié le 14/02/2013
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Ce n'est sans doute pas inintéressant, mais ceci est un forum de poésie. | |
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Elucubrations, c'est le seul mot à retenir ? | |
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Je pense que je posterais que des poèmes. Mais je suis tout seul à écrire ce genre de truc et j'avais besoin d'un avis sur ce que je fabrique. | |
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