Nuit de nickel baignant dans la froidure
du matin mugissant.
Nuit sans joie
de devoir céder sa place à l'aube
depuis l'origine des temps.
Matin fébrile, encore chaud
de son séjour en terre australe.
Vent froid balayant la digue
où seule trotte une âme solitaire.
Mer qui s'agite au loin, l'écume à la lippe,
clamant le sempiternel chant de la Vie.
Encore une fois j'emprunte ma chère digue
Claquant de mes pas agiles sa surface rugueuse
comme autant de baisers d'amour.
(Baiser du trotteur épistolaire)
Écrit par jjacques
Perpétuellement le Sage recherche la Vérité; le crétin, lui, l'a déjà trouvé! Et en plus il veut l'imposer(sentence augmentée d'un Sage chinois)
Catégorie : Divers
Publié le 01/06/2008
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Commentaires
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Posté le 01/06/2008 à 08:50:31
Joli poème tout en finesse. on se croirait avec toi sur la digue. | |
eric |
Posté le 02/06/2008 à 17:53:16
Quel bel hommage à ta ville encore une fois :). | |
I-ko |
Posté le 03/06/2008 à 08:54:12
merci I-ko | |
jjacques |