Je t'ai embrassé dans une rue pavée de Paris.
Première et dernière fois.
Puis tu es pour toujours partie.
Vingt ans plus tard le goût de ton baiser
Est un souvenir frais,
Mille étoiles de feu en folie.
Ton visage rond ton sourire ivre tes yeux de la Terre
Sont autant d'images qui tourmentent mon âme,
Sommeillent en moi et tournoient jusqu'au dernier vertige.
Belle inconnue, le sens de ma vie est désormais lié à toi.
Toi qui ne sais plus que j'existe.
Belle Olivia, je vais mourir ton parfum en écharpe,
Seul.
Écrit par jc yetta
Parfois, comme submergé, je laisse certains reves me suivre.
Il en est un, qui par-delà nuit et jour, sommeille mon regard dans d'étranges postures. Catégorie : Amour
Publié le 25/05/2015
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Commentaires
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Posté le 25/05/2015 à 08:45:54
La fâcheuse tendance de l'esprit humain à idéaliser l'inconnu... cela peut nous jouer des tours. | |
Victor |
Posté le 25/05/2015 à 12:29:28
Magnifique poeme mec | |
Ismo75 |
Posté le 25/05/2015 à 20:09:57
Quelle nostalgie... Vingt ans déjà et l'inconnue s'est enfuie ! Seul son prénom demeure comme une blessure au coeur... Merci pour ce poème qui me rappelle des souvenirs. | |
jacou |
Posté le 26/05/2015 à 18:52:00
merci pour vos commentaires. | |
jc yetta |