"Les baux des bois dormants"
Dormant, les beaux abois des chiens de pure race
Font silence à chasser quand la meute a bondi
La femme en infamie me suit sur toute trace
Je serais de mèche si elle m'incendie
Mordant, ses dogues noirs seront ma déchirure
Que cède la déesse à son ire insatiable
J'aurais brûlis d'un tronc et la tête au futur
Verra l'Enfer à qui vécut d'un dernier sable
La horde dans Sa nuit courra pour boucherie
Sans courage fuyant Celle qui fût "chérie"
J'aurai la Mort de qui fait sa cour à la diane
D'un jour au croissant lié comme serpe à mon cou
Crocs et croix dans un corps sont cruels contrecoups
La femme est si nue que lune, elle me tue Diane
![]() |
Écrit par jacou
Vivre en Poésie.
Catégorie : Spiritualité
Publié le 09/06/2025
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Spiritualité à découvrir...
Poèmes de jacou au hasard
Commentaires
Annonces Google |